Petit coup de gueule pour améliorer la vie en ville
Ah que la vie urbaine serait douce si... - les mobylettes (et même les motos en accélération) étaient moins bruyantes. - Les voitures ne klaxonnaient pas à tout bout de champ. - Les voitures (et les bus) étaient moins polluantes (mais électriques). - il y avait des itinéraires calmes pour les vélos (et pas seulement des bandes le long d'axes rouges malodorants et bruyants) (cela dit, ces bandes permettent de doubler toutes les voitures à l'arrêt). - on trouvait un autre moyen, pour empêcher les voitures d'envahir les trottoirs, que les "ralentisseurs de piéton", ces plots qui empêchent bien souvent d'arpenter à deux les trottoirs des petites rues. Si au moins ces ralentisseurs étaient utilisables comme point fixe pour attacher son vélo... - Les propriétaires de chiens sales étaient sanctionnés (comme en Grande Bretagne) (il parait que ces maîtres inciviques constituent 10% des 10 % qui possèdent un chien à Paris, donc c'est 1% de la population qui em.. tout le monde!). - Le métro parisien était moins agressif vis-à-vis de ses visiteurs, notamment ceux chargés de bagages, paquets, poussettes... Il parait que le système de barrières-machoire est efficace, qu'il faut rentabiliser ces investissements onéreux. Mais l'arrivée dans le réseau souterrain de Berlin, Lille ou Lyon est tellement plus conviviale! Leurs contrôleurs sont dissuasifs tout en assurant une présence rassurante... - Le métro et les bus était climatisé (Barcelone en a bien les moyens!) (et pourvus de sièges qui ne claquent pas) - Les arrêts de bus indiquaient le temps restant avant le prochain bus. - Des lignes de tramway remplaçaient les itinéraires de bus et de métro les plus surchargés pour permettre de glisser rapidement et silencieusement en regardant la ville... - On trouvait des fontaines d'eau potable à chaque promenade. |