Histoire urbaine - petite et grande histoire - art et architecture modernes - bâtiments anciens - jardins et villas - ateliers et industrie - musées et loisirs  du 13è arrondissement (côté TGB)

Petite histoire du 13è arrondissement
Au Moyen Âge, ce faubourg de Paris situé loin de la ville-centre et au bord de la rivière de la Bièvre était un quartier de bouchers, de tanneurs, de teinturiers. Mais, devenue un égout en plein air, la Bièvre est recouverte en 1910. Les anciens métiers artisanaux sont alors remplacés par des usines : les entreprises Panhard, Say ou Thomson attirent une population ouvrière qui s'installe dans des petits immeubles modestes. Dans les années 1960 et 1970 ces immeubles souvent délabrés sont détruits et remplacés par des immeubles modernes et des tours : les "gratte-ciel" sont aujourd'hui au nombre de 28 et appartiennent à l'image du 13è arrondissement. D'ailleurs il en avait été prévu davantage, plusieurs projets furent annulés. Avec le départ des usines dans les années 1970, l'arrondissement est devenu plus résidentiel.

Architecture moderne autour de la Bibliothèque nationale de France

Le nouveau quartier Paris-Rive-Gauche (www)
Le nouveau quartier s'étend sur 2 km le long de la Seine entre la gare d'Austerlitz et le périphérique. Cette très grande opération d'urbanisme doit valoriser l'est parisien en créant un nouveau quartier au dessus des anciennes voies de chemin de fer menant à la gare d'Austerlitz (la gare n'est plus beaucoup utilisée depuis l'arrivée du TGV à Montparnasse). Décidée en 1991, la ZAC a rencontré plusieurs difficultés : d'abord contesté par des associations (comme Tam-Tam, 30 avenue des Gobelins, fax : 01 43 37 12 79), son plan d'aménagement a été annulé en 1995 par le tribunal administratif à cause du manque d'espaces verts. L'enquête publique du nouveau plan a été achevée fin 1997 : l'avis en était favorable mais les commissaires-enquêteurs demandaient une meilleure concertation avec les habitants des alentours. D'autre part, les recettes attendues ont diminué du fait de la crise immobilière : les 900 000 m2 de bureaux se vendaient moins cher et moins vite. Depuis l'automne 1998, les investisseurs, notamment américains se précipitent désormais pour acheter des droits à construire. Succès en partie dû à la nouvelle liaison de la ZAC au centre de Paris et au quartier de la Madeleine par la ligne 14 de métro, Météor (www).

Le plan de départ prévoyait plusieurs destructions de bâtiments anciens : contestés, ces projets ont été modifiés. Seront ainsi maintenus les entrepôts frigorifiques, la verrière de la gare d'Austerlitz (dont la présence gênait l'arrivée du nouveau pont Charles de Gaulle). Malgré l'incendie du toit en 1997, les Grands moulins de Paris doivent finalement être conservés pour une éventuelle université. Une nouvelle passerelle piétonnière doit être lancée entre les deux rives, entre le Parc de Bercy à la Bibliothèque de France. Le concours d'architecture a été lancé en 1999 : ce devrait être un pont habité (avec des activités), soit entièrement nouveau, soit réutilisant l'ancien pont métallique de Tolbiac démonté depuis 1996. Pour l'instant ont été édifiés la Bibliothèque nationale de France et deux quartiers d'habitations en bord de Seine. En 2000 a été décidée la création d'un nouveau campus universitaire parisien : les terrains (200 000 m²) ont été cédés par la Ville. Ils accueilleront en 2003, outre 4000 logements étudiants, l'université Paris VII, l'Inalco (www), une école d'architecture, l'Ecole pratique des hautes études (www).

Le plan d'aménagement a été confié à Christian de Portzamparc. Le quartier s'articule de part et d'autre de la future avenue de France, tracée sur dalle au dessus des voies ferrées. Pour les quartiers d'habitation, l'architecte propose des "îlots ouverts" : il veut retrouver la rue, moteur de l'animation et des échanges, sur laquelle s'ouvrent les jardins intérieurs (ce qui ne plaît pas aux premiers habitants parait-il, qui souhaitent des jardins privatifs…). Les hauteurs sont variées, afin notamment de favoriser la meilleure exposition au soleil de chaque appartement.

(Départ du métro Quai de la Gare, en attendant la station Tolbiac de Météor...)

22- Pont Charles-de-Gaulle
(architectes Louis Arretche et Roman Karasinski, 1996)
Blanc et effilé, le 34è pont de Paris permet de relier la gare de Lyon et la gare d'Austerlitz (il était prévu au départ des cabines pour les relier). On a critiqué son coût et l'absence initiale de voies cyclables.

23- Douze ateliers d'artistes dans un ancien entrepôt, 26 rue Edmond Flamand
(architectes
Bernard Huet, Bernard Le Roy, Marylène Ferrand, Jean-Pierre Feugas, 1983).
Le maître d'ouvrage (RIVP) a gardé la structure de l'ancien atelier de tonneaux, qui devait d'abord être détruit, en raison de "la qualité exceptionnelle de la charpente et les deux belles façades néo-classiques". L'allée centrale dessert les ateliers. On accède aux logements des 3è et 4è étages par un escalier intérieur à chaque atelier. La principale difficulté a été de "combiner la trame très complexe de la charpente avec l'installation des murs séparatifs des logements". Les appartements sont éclairés par une verrière sur le toit car les murs latéraux, considérés comme mitoyens, ne pouvaient être percés.

 

Logements de studios, 5 rue de Bellièvre
(architectes Fabrice Dusapin et François Leclercq, 1987)
Le fractionnement du bâtiment en deux a permis de "mieux assurer la cohérence de la rue en rétablissant un lien" entre les deux immeubles mitoyens de style différent. Entre les deux parties, une faille plantée d'un arbre signale l'entrée. La façade sur rue est lisse, "pour accentuer les jeux de volume" et diminuer le coût de pose du marbre de Carrare. La façade sur cour plus mouvementée est composée d'un grand escalier en spirale sur lequel se branchent des coursives, comme des trottoirs suspendus, avec des bancs au soleil. Les grandes fenêtres correspondent aux vues sur la Seine.

24- Bibliothèque nationale de France-François Mitterrand, 11 quai François Mauriac (www)
(métro Quai de la Gare) (tel. 01 53 79 53 79 ou 01 53 79 59 59, expositions ouvertes de 10.00-19.00 sauf lundi, dimanche de 12.00-18.00
(salles de lecture et de recherche. Haut-de-jardin ouvert de 10.00-20.00 sauf lundi, le dimanche de 12.00-19.00. Rez-de-jardin ouvert de 9.00-20.00 sauf dimanche)

(architecte
Dominique Perrault, 1996)
L'édifice se situant sur les prestigieux bords de Seine (dont une partie est classée au patrimoine mondial par l'Unesco), l'architecte Dominique Perrault voulait "signaler" la présence de la bibliothèque tout en évitant un effet trop massif (le volume total de plancher correspond à trois fois Beaubourg). Il a choisi de construire 4 grandes tours en équerre enserrant une esplanade et un jardin intérieur. Certains y ont vu une métaphore de livre ouvert. Les tours sont comme transparentes grâce au décalage entre le verre extérieur et les containers de livres en cuivre, aluminium ou zinc (l'architecte a travaillé sur le "non-contact entre les matériaux") : elles contiennent les livres sur les 11 derniers étages, ce qui a provoqué une polémique sur le coût de la maintenance pour éviter les dommages du soleil. Les bureaux se distribuent dans les 7 premiers étages, tandis que les salles de lecture (1100 places pour le public, 2000 places pour les chercheurs donnant sur le jardin inaccessible) s'étendent sous l'esplanade de bois blanc exotique (et glissant). Cette esplanade peut paraître un peu triste, avec ses lampadaires d'autoroute, ses larges garde-corps (rebords métalliques) qui empêchent de voir le jardin... Mais les arbres en cage sont destinés à grandir en dehors de leurs grilles.
(Dossier du webzine d'architecture Archicool)

Vient d'ouvrir aussi le département de la phonothèque et de l'audiovisuel de la BNF, qui offrira à terme un million de documents sonores provenant notamment du dépôt légal (depuis 1925) du son : disques et enregistrements - mais c'est l'INA qui reçoit le dépôt légal de la radio (tel 01 53 79 59 59). En 1999 un espace propre construit par Jean-Michel Wilmotte le long de l'avenue de France, sera consacré à cette "cité de l'image et du son".

Logements du quartier de Tolbiac
(architecte coordonnateur Roland Schweitzer, 1994-1998)
Tous les logements sont aidés (324 PLA, 384 PLI). Les façades des bâtiments construits sont sans saillie "pour ne pas amoindrir la notion d'enceinte" entourant le "vide urbain" de la Bibliothèque de France. Pour offrir, depuis le quartier de Bercy, la vue d'"alternances de pleins et de vides" et non de "barres compactes", les façades sont creusées de loggias et de failles occupées par des terrasses et des jardins, qui traversent les îlots.

Logements, rue Emile Durkheim
(architecte
Francis Soler, 1996)
La volumétrie de l'immeuble est sage, mais l'architecte transgresse un tabou de l'architecture moderne qui interdit tout décor depuis l'architecte autrichien Adolf Loos au début du siècle. L'immeuble est entouré d'une peau de verre sérigraphiée dont les motifs reprennent les fresques du 16è s de Giulio Romano au Palais du Té à Mantoue. L'architecte a conçu l'édifice comme une "boite à lumière" jouant du positionnement aléatoire des panneaux coulissants des deux façades de verre doublées de stores. Le socle, abritant une crèche et des commerces est plus opaque.

(En remontant la rue Durkheim...)
Centre d'information de la SEMAPA, rue Emile Durkheim sur le pont (www)
(tel. 01 45 82 27 45, ouvert 13.00-18.00 sauf lundi, 10.00-18.00 le samedi dimanche)
"Les fondations de la ville" est un centre d'information géré par l'organisme aménageur du nouveau quartier. On peut y voir l'historique du quartier, les maquettes des constructions, les nouveaux projets. A certaines périodes il organise des visites guidées gratuites le dimanche pour voir les éléments en cours de construction. Depuis le pont destiné à se confondre avec la future avenue de France, on a un panorama de tout le sud-est de Paris (de gauche à droite) :
- Frigorifiques 91 quai de la Gare
- Grands moulins de Paris
- Vieux bâtiment de la SNCF
- Hôtel industriel moderne (repère : laboratoires FNAC)
- Cheminée du centre de traitement des déchets ménagers d'Ivry
- Hôtel Berlier de Dominique Perrault

Deux possibilités : aller voir ceux-ci de plus près en allant vers le boulevard Massena (voir plus loin)
ou finir la boucle par la rue du Chevaleret : dans ce cas traverser l'Avenue de France et prendre à droite la rue du Chevaleret...)

25- Logements sociaux, 112 rue du Chevaleret et rue de Broglie
(architecte
Edith Girard, 1990)
Sur un terrain triangulaire difficile (à angle très aigu), l'architecte a fait se croiser deux lignes de bâtiments, l'articulation des deux se faisant un peu avant l'angle, contrairement aux habitudes architecturales. L'ensemble peut se lire comme "le désir poétique de retrouver l'ambiance du vieux 13è des bandes dessinées de Tardi". Au premier plan s'élèvent des ateliers d'artiste à trois niveaux, à la façade plate comme un simple mur. Au delà, le dernier étage du grand bâtiment (souligné de marbre rosé) ondule "comme le ciel posé sur le mur". L'ensemble est en béton enduit blanc et en pierre agrafée sur la rue Louise Weiss, pour "conférer noblesse et pérennité au logement social".

Aux n° 20, 24, 28, 30, 32, 34 de la rue Louise-Weiss, un groupe de galeristes d'art a accepté de s'installer pour des loyers modérés afin de favoriser l'animation et le remplissage du quartier encore trop neuf
De l'autre côté de la rue Louise-Weiss, il s'agit d'un long immeuble du ministère de l'économie et des finances :
Bureaux, 55-57 et 61-65 bd Vincent Auriol (architectes Henri Ciriani et Adrien Fainsilber, 1990)

(En débouchant sur le boulevard Vincent-Auriol...)
Logements sociaux, 42 bd Vincent Auriol (architecte G. Bouchez, 1995 )
(Juste près avoir traversé les voies ferrées...)
Foyer, 10 bd Vincent Auriol (architecte M.C. Gangneux, 1985)

Vers le boulevard Massena

 

(Prendre le quai Panhard et Levassor...)

 


26- Ateliers du "91 quai de la gare" ou "Le frigo", 91 quai Panhard-Levassor (www)
(métro Quai de la Gare) (1919)
(portes ouvertes fin septembre)
Dans la première moitié du siècle, le bâtiment servait d'"usine" à glace et d'entrepôt gelé. Les réfrigérateurs s'étant généralisés après 1945, le bâtiment trouva une nouvelle destinée artistique : depuis 1983, 250 artistes ont aménagé une centaine d'ateliers en perçant des fenêtres sur la façade aveugle. Leur maintien dans les lieux n'était pas prévu par les premiers projets de réaménagement du quartier. Mais, payant un loyer à la SNCF, ils sont désormais appelés à rester dans le bâtiment (dont seulement 9000 m² sont aménagés sur 30 000 m²). Le "frigo" doit être environné de nouvelles constructions, ce que les artistes contestent. Un incendie a détruit la toiture en septembre 1997.

 

Grands Moulins de Paris, quai Panhard et Levassor
(architecte Georges Wybo, 1923)
Les Grands Moulins ont été construits en 1923 dans un style classicisant, avec de grandes arcades et un toit en ardoise. Après leur abandon, les e Grands Moulins ont été menacés de destruction, puis achetés à cet effet par Bouygues, puis rachetés par l'organisme aménageur du quartier. Ils devraient finalement être conservés, pour être éventuellement transformés en université. Une partie du toit a disparu dans un incendie en 1997.

(Après un vieil entrepôt de la SNCF, on croise...)
Hôtel industriel moderne
(LRD architectes) : on le repère par l'enseigne "laboratoires FNAC"

27- Usine d'air comprimé (SUDAC)
(Victor Popp et Joseph Leclaire, 1891)
L'usine a produit de 1890 à 1994 de l'air comprimé pour le réseau de pneumatiques, les horloges publiques, les ascenseurs, certaines usines. C'est un bel exemple d'architecture industrielle : on remarque la cheminée de brique, la halle métallique. D'ailleurs, le bâtiment ne cherche pas à dissimuler ses structures de métal, qui ont été reportées à l'extérieur. Ainsi, les piliers, les poutres à croisillons tendues diagonalement libèrent l'espace intérieur, comme le fera bien plus tard le centre Beaubourg.

(Continuer en passant sous le boulevard Masséna...)
28- Cité technique et administrative de la Ville de Paris, 5 quai d'Ivry
(architecte
Michel Kagan, 1991)
"L'îlot cubiste, au vocabulaire abstrait et puriste" est éclaté en plusieurs bâtiments, afin de répondre au programme qui regroupe plusieurs administrations parisiennes. La tour carrée de bureaux qui "s'adresse au périphérique" et les bâtiments-paysages sont tenus "à l'intérieur d'une enceinte-cadre comme un drap blanc qui unifie l'ensemble". Malgré la conviction de l'architecte, selon laquelle "un lieu de travail est aussi noble qu'un musée", il a dû renoncer, pour des raisons financières, de recouvrir les façades de zinc et d'aluminium.

(Contourner le bâtiment et remonter par la rue Bruneseau...)
29- Hôtel industriel Berlier, 26 rue Bruneseau
(RER Bd Masséna)
(architecte
Dominique Perrault, 1990)
A la fin des années 1970, la municipalité décida de créer des hôtels industriels afin d'accueillir des petites industries non polluantes qui sinon auraient quitté Paris. Dominique Perrault, l'architecte de la Bibliothèque Mitterrand voisine, a voulu édifier un bâtiment "puissant", pour être à l'échelle du site marqué par d'imposantes voies de communication (périphérique, voies ferrées). Souhaitant "donner une image architecturale nouvelle à l'industrie", il a construit un bâtiment transparent où le verre laisse voir les câbles et les différents tuyaux techniques. De même, les activités industrielles qui se déroulent à l'intérieur sont mises en vitrine et "rythment les façades". L'architecte y a son agence.

Les cheminées que l'on voit derrière sont celles du centre de traitement des déchets ménagers d'Ivry-sur-Seine (épuration des fumées, centre de tri des déchets ménagers en cours d'aménagement).

30- Refuge de l'Armée du salut, 12 rue Cantagruel
(architectes
Le Corbusier et Pierre Jeanneret, 1933)
Avec ce grand bâtiment de 500 lits, Le Corbusier construisit en 1933 son deuxième immeuble collectif. Pour l'architecte moderniste, le logement devait être une "machine à habiter" universelle, transposable partout quel que soit l'environnement ou le climat. Ainsi, les vitres ne s'ouvrent pas en raison de l'installation prévue d'air conditionné. Mais celle-ci ne fonctionnant pas, Le Corbusier dut ajouter des brise-soleil pour éviter la chaleur étouffante en été... Au pied de l'immeuble, les bâtiments administratifs colorés ont une forme liée à leur fonction : les arrivants sont d'abord accueillis dans le portique de gauche, puis ils ont orientés dans une plaque tournante cylindrique.  © Fondation Le Corbusier

 

 

31- Maison Planeix, 24 bis bd Masséna
(visite sur RV : 01 45 83 73 50)
(architectes
Le Corbusier et Pierre Jeanneret, 1927)
Construite en 1927, c'est une petite maison à la façade cubiste, dépouillée et subtilement dissymétrique. Le sculpteur Antonin Planeix eut beaucoup de mal pour réunir le million de francs (actuels) nécessaires à la construction de sa maison. La maison est centrée sur le cube de la salle de séjour qui jaillit du mur, surmonté par le balcon de l'atelier de l'artiste. L'évidente symétrie de la façade est subtilement démentie par des fenêtres de forme différente.  © Fondation Le Corbusier

 

(Immeubles du mouvement moderne dans les environs...)
Caserne de pompiers, 37 bd Massena
(architecte Jean Willerval et Prvoslav Popovic, 1971)
En pleine époque fonctionnaliste, l'architecte a "voulu échapper à la monotonie de l'orthogonalité en réinventant des formes baroques et lyriques". D'où "ce bâtiment au mouvement de vaisseau -arrondi de la coque et de la proue- posé sur la pente du boulevard". Cependant l'architecte est influencé par les "formidables facultés" techniques de l'époque, notamment du béton armé (structures en béton, façade en panneaux de béton fabriqués en usine). Une perche permet de descendre en 20 secondes des logements situés dans la barre vers les garages situés au rez-de-chaussée. Le bâtiment bas de devant sert à la réparation des véhicules et aux exercices.

Associations du 13è
ADA 13,
BP 339, 75 624 Paris cedex 13, tel 01 45 86 34 98 : l'ADA édite un journal d'informations sur l'actualité de la vie et de l'urbanisme du 13è arrondissement.

Mairie du 13è
Serge Blisko (PS), 1 place d'Italie, 75 634 Paris cedex 13, Métro place d'Italie, tel. 01 44 08 13 13.

Chiffres du 13è

Statistiques du recensement de 1990
Sondage de l'INSEE au 1/4
Chiffres du 13è Chiffres de Paris Chiffres de l'agglomération parisienne
Population totale 171 138 2 151 245 9 316 656
Population par âge (en %)
0-19 ans
20-39 ans
40-59 ans
60-74 ans
+ de 75 ans

19,6
35,7
25,9
11,8
7

18,6
35,9
24,7
12,2
8,5

25,5
33,8
24,7
10,2
5,7
Familles   (couples et enfants)
dont enfants

Personnes habitant seules (en % des ménages)
Nombre de personnes par ménage
117 696
42 304

46
2,02
1 423 932
491 292

49,8
1,92
7 486 068
2 920 272
33,2
2,41
Taux d'activité (en %)
dont chômeurs
63,1
10,7
60,9
9,7
62,5
9
Catégories socio-professionnelles des
ménages (selon personne de référence) (en %)
Agriculteurs
exploitants
Artisans, commerçants, chefs d'entreprises
Cadres professions intellectuelles sup.
Professions intermédiaires
Employés
Ouvriers
Retraités

Autres (élèves, étudiants, "au foyer")


0
3,8
23,7
15,7
15,2
10,2
23,5

7,8


0
5,5
23,4
13,9
13,8
10,5
23,4
9,4


0,1
5,3
18,4
16,3
14,2
17,4
22,3
6,0
Statut d'occupation du logement
par les ménages (en %)
Propriétaires-occupants
Locataires
Logés gratuitement

Logements sans confort
= sans salle de bain ni WC intérieurs


22,4
70,8
6,7
4


28,3
63,0
8,7
8,1

40,2
54,0
5,8

3,9

Ménages ne disposant pas de voitures (en %)
Actifs travaillant à Paris
= même commune pour l'agglomération
48,1
71,9
53,7
72,9
34,5
33,9

Sites internet du 13è
Mairie13.paris.fr - Le site de la mairie informe sur la vie associative, économique, civique etc.

www.13envues.fr - Histoire et culture du 13e arrondissement de Paris.

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